Des « street-poètes » ont frappé cette nuit rue Jéliote


C’est un immeuble en déshérence situé au pied de la rue Jéliote, à l’entrée de la ville. Son pignon constitue un magnifique panneau publicitaire. Jusqu’à présent il était couvert par une grande affiche à la gloire du rallye des Cîmes. Mais cette nuit, comme en témoignent ces deux photos transmises par un lecteur du blog, des « street-poètes » sont passés par là. L’affiche célébrant cet événement pétaradant et polluant a fait place à un message beaucoup plus bucolique : « Ils ont essayé de nous enterrer – Ils ne savaient pas que nous étions des graines – Aux arbres citoyens ». Un message quelque peu ésotérique puisque seuls les initiés le comprendront.

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9 commentaires sur « Des « street-poètes » ont frappé cette nuit rue Jéliote »

  1. Peut être que la réponse se trouve du coté de la ZAD citoyenne, où les graines
    d’ arbres encore poussent en toute liberté et non alignées le long de la future tocade de certains.

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  2. On dit aussi qu’on juge un arbre à ses fruits…..Ils devraient alors arrêter les arrosages à la bière et les fumigations…

    encore que la banque verte ayant appris le dépot de statut à la préfecture de cette zad leur proposait l’ouverture d’un compte avec toutes les facilités.

    ceux qui bossent et payent des agios dans cette même banque apprécieront….

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  3. N’en déplaise à certains, moi, je préfère cette citation qui n’endommage pas plus la façade que l’affiche qu’il y avait avant. Que certains en prennent de la graine 😉

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    1. il est clair que c’est une véritable verrue qui ne fait pas honneur à l’entrée de la ville. D’autant plus que les bâches sur le toit vont finir par un jour de grand vent prendre la poudre de l’escampette et finir sur les voitures ou les personnes. Allo! il y a un héritier sur la ville ?

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    1. «  »mais qui se cache derrière rd218 ? » »

      je vous prie de m’excuser pour ce manquement à mes obligations , je comprends l’intérêt que vous me portez et je vous en suis gré

      Je suis marié, âgé de 70 ans, grand adepte de la petite reine sur terrain plat, mes capacités intellectuelles ne m’ayant pas permis d’user le fond de mon pantalon sur les bancs d’une fac, je pratique une sociologie de terrain comme d’ailleurs aussi les sciences humaines, voir même animales ( master en bovins et caprins) qui m’ont permis entre autres de constater que l’adage « les conseilleurs ne sont pas les payeurs » n’était pas une légende.

      ps: à part mon âge, tout est vrai. Pour le reste permettez moi de le réserver pour « mes copains d’après « 

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